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concours ortho

11 octobre 2006

vocabulaire 31

Gourgandine : catin

Primesautier : spontané

Sorite : raisonnement

Concupiscent : avide

Perpétration : continuité

Hiérophante : prêtre

Marivaudage : propos galant

Cornaquer : guider

Energumène : forcené

Cabalistique : mystérieux

Escarmouche : altercation

Condescendant : hautain

Miscellanées : mélanges

Vade-mecum : livre

Bachi-bouzouk : cavalier

Tempétueux : tumultueux

Critérium : compétition

Empesé : amidonné, compassé

Compendium : abrégé, condensé, résumé

Antiphonaire : recueil de chants

Calamistrer : lustrer

Calandre : alouette, charançon, machine

Barbu : oiseau ou qui a de la barbe

Grêle : précipitation, filiforme

Mosaïque : marqueterie, maladie, relatif à Moïse

Parégorique : antalgique, calmant

Chanterelle : appeau, corde, champignon

Vaticinateur : devin, prophète

Vadrouille : balai, promenade, prostituée

Goret : cochon, balai

Macule : salissure, maculature

Spéculaire : relatif au miroir, plante

Etalon : cheville, archétype, cheval reproducteur

Housser : mettre une house ou nettoyer avec un houssoir

Grève : débrayage, côte

Botte : chaussure, gerbe, coup

Diète : régime, assemblée

Gloriette : petit pavillon, grande cage

Mante : manteau, insecte, poisson

Muguet : plante, jeune élégant

Fagne : marais

Latitudinaire : laxiste

Thériaque : électuaire

Gourmander : morigéner

Mahonne : chaland

Napée : nymphe, oréade

Ferrailler : batailler

Lancinant : obsédant

Mémorandum : note

Laudatif : élogieux

Gaillardise : gaudriole

Intromission : entrée

Nocher : piloter

Gradus : dictionnaire

Mélopée : mélodie monocorde

Anathématiser : excommunier

Flegmatique : calme

Grimaud : piètre écrivain

Ménestrel : musicien

Oculus : œil-de-bœuf

Novation : nouveauté

Mastroquet : troquet

Œil-de-chat : quartz

Oriel : fenêtre

Pantalonnade : farce

Gouleyant : agréable

Mirliflore : jeune élégant

Nantir : munir

Obtempérer : obéir

Minnesinger : poète

Nébuleux : brumeux

Mercanti : profiteur

Pantois : pantelant

Mastaba : tombeau

Nabi : prophète

Narguilé : pipe

Palestre : gymnase

Robinsonnade : récit d’aventures

Atrophié : affaibli

Parâtre : beau-père

Ostensible : apparent

Pastoral : bucolique

Médiocre : modeste

Parturition : enfantement

Renégat : traître

Subjectif : individuel

Concupiscence : convoitise

Omnipotent : tout-puissant

Pendard : coquin

Revêche : acariâtre

Preux : vaillant

Ophidien : relatif au serpent

Tartuferie : hypocrisie

Vigie : sentinelle

Spongieux : spongiforme

Pataud : gauche

Parcimonieux : mesquin

Mangouste : fruit, mammifère

Gargoulette : vase, gosier

Office : charge, pièce, cérémonie

Panne : office, graisse

Manipule : enseigne, linge liturgique

Patron : dirigeant, modèle

Débardeur : tricot, docker

Gommeux : muscadin, relatif à la gomme

Déboucher : aboutir, désobstruer

Perdant : jusant, qui perd

Echoppe : burin, baraque, petite boutique

Mouche : insecte, petit navire, petite tache

Démettre : luxer, destituer

Priser : renifler, estimer

Milord : cabriolet, titre

Buse : rapace, cruche, conduit

Perler : suinter, exécuter minutieusement

Merlin : hache, cordage

Dépister : détourner, découvrir

Mofette : gaz, mouffette

Pie-grièche : harpie, passereau

Diable : chariot, filet

Spolier : dépouiller

Musculeux : musclé

Corrélatif : simultané

Déveine : malchance

Empreindre : marquer

Pinasse : embarcation

Démantibuler : démolir

Monogramme : signature abrégée

Entendu : compris

Platitude : fadaise

Crânerie : audace

Etrécir : rétrécir

Fronder : attaquer

Lanterner : musarder

Plumitif : bureaucrate

Imputer à : attribuer à

Rémissible : pardonnable

Pugnace : combatif

Incriminer : accuser

Ammophile : arénicole

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11 octobre 2006

vocabulaire 4

Un hansart : couperet, hachoir à viande

Un satrape : gouverneur d’une province ou homme puissant

Un pébroque ou pébroc : parapluie (familier)

Un colloque : conférence, séminaire, débat

Un choucas : oiseau noir

Chaloir : importer

Un pourvoi : appel, recours, requête

Un cynips : insecte parasite

Une cymbalaire : linaire à fleurs violettes

Un nibard ou nibar : sein

Un estoc : grande épée droite

Un foc : voilà à l’avant du navire

Alliacé (adj) : propre à l’ail

Cradoque (ou crado) : très sale, cradingue, craspec

Vioque ou vioc (adj) : vieux

Une fouace : galette de fleur de froment

Une ipomée : plante

Une péri : génie ou fée dans la mythologie arabe

Faldistoire : siège liturgique des évêques

Une durit (durite) : tuyau

Un coquart ou coquard : tuméfaction de l’œil due à un coup

Un consistoire : assemblée de religieux

Un bougnat : marchand de charbon

L’aquavit : eau de vie scandinave

Clinfoc (nm) : voile légère

Un psoque : insecte minuscule ( = pou de bois)

Une chausse-trape ( ou trappe) : piège, engin de guerre

Un pancrace : exercice gymnique de la Grèce Antique

Une aumusse : fourrure

Un émonctoire : organe qui élimine les substances inutiles

Bouter : refouler

Exogène : qui vient de l’extérieur

Fantasque : bizarre

Séricigène : qui sécrète de la soie

Dation : fait de donner

Bréviligne : trapu

Faisandé : corrompu, vénal

Déconfit : penaud

Ergoteur : chicanier

Busqué : arqué

Fangeux : abject

Gauche : emprunté

Démotique : romaïque

Galvaudeux : vagabond

11 octobre 2006

dictées à corriger 4

Un tournage mouvementé

            Les quelques trente à quarante comédiens qui s’étaient faits appeler de pseudonymes bizaroïdes et les quelque techniciens qui avaient disputé à l’envie à des rivaux renommés la chance d’être intégrés à cette équipe haut-de-gamme étaient prêts à tourner, près de leur metteur en scène favorit, la vingt-et-unième scène du film.

            Bien que celle-ci – d’une tension aïgue – eut lieu au moment où le héraut atteignait l’apogée triomphale de son épopée et dut se dérouler en été, survint un événement. Un froid subi s’abattit, et, comme la pluie s’était mis à tomber drue, on dut s’arrêter afin que la caméra ne ruissela point, et attendre que cette vague s’acheva. Tout, en effet, s’en allait à vau l’eau : en l’occurence, le décor en carton-pâte, les roches arénassées, marmoréennes, les aéronefs louées pour l’occasion, le carcan d’un satire boiteux qui, dans cette scène, eut dû souffrir le martyr, le sceptre éburnéen du héros et la perruque auburne de sa dulcinée.

            Emportés par les eaux torrentielles, des couvre-chefs drôlatiques, des costumes rouge brun, jaune doré ou feuille-morte, des tentures frippées imitant de vieux brocards à ramages, une kyrielle d’objets hétéroclites roulaient dans les égoûts. Des plates-bandes d’amarillis et de delphiniums, ainsi que des haies de lauriers-cerises et de lauriers-thym et des groupes de salsepareils, formaient déjà un amoncellement psychédélique… Seul échappatoire à ce cauchemard : ce fut la tentative du réalisateur, qui escalada l’unique échelle rescapée et, ainsi exaucé, d’une voix suraiguë, parla ex-cathedra, priant pour que ce cyclone s’arrêta. Le soir même, oh miracle ! pluie, vent et froid s’étaient calmés. Demeuraient toutefois les dégats, incommensurables !

            Quoi qu’il leur ait été des plus pénible de patauger ainsi, les techniciens et les comédiens même s’étaient ris de cette catastrophe, et, loin de s’entredéchirer, s’étaient évertués et plus à reconstituer de leurs mains les décors.

Texte 2

            Il est revenu le grand printemps.

            Le sud s’est ouvert comme une bouche. Ca a soufflé comme une longue alêne, humide et tiède, et les fleurs ont tressailli dans les graines, et la terre toute ronde s’est mis à mûrir comme un fruit.

            L’escadre des nuages a largué les amares. Ca a fait un grand et long charoi de nus qui montait vers le nord. Ca a duré, on sentait la terre qui se gonflait de toutes ses pluies et de la vie réveillée de l’herbe. Enfin, une belle fois, on a vu bouilloner le ciel libre sous la poupe du dernier nuage.

            Il est resté, pourtant, une balayure de ciel et elle flotte, accrochée au clôcher d’Aubignane comme un linge autour d’une pierre dans un ruisseau.

            On est las ; on n’ose pas encore commencer la peine de printemps, prendre la pêche ou le sac aux semances, commencer ; on n’ose pas. Il peut pleuvoir encore d’un moment à l’autre ; on est directement sous le hallètement du grand nuage, et le jeûne jour blond est encore tout tremblant d’éclair.

            Panturle est assis près du rocher sous le ciprès. Il a posé ses mains inutiles sur les genoux. Il fume. Il regarde sa fumée. Elle se déploit hors de sa pipe comme une chose vivante ; elle a du cor. C’est que l’air est encore calme. Le vent n’est pas venu.

CORRIGE

Texte 1

Ligne 1 : quelque / fait

Ligne 2 : bizarroïdes / quelques / envi

Ligne 3 : haut de gamme

Ligne 4 : favori / vingt et unième

Ligne 5 : aiguë / eût / héros

Ligne 6 : triomphal / dût

Ligne 7 : subit / mise / dru

Ligne 8 : ruisselât / s’achevât / vau-l’eau

Ligne 9 : occurrence / arénacées

Ligne 10 : loués / satyre / eût

Ligne 11 : martyre / auburn

Ligne 12 : drolatiques / rouge-brun

Ligne 13 : fripées / brocarts

Ligne 14 : égouts / amaryllis

Ligne 15 : lauriers-tins

Ligne 16 : salsepareilles / seule

Ligne 17 : cauchemar

Ligne 18 : exhaussé / ex cathedra / s’arrêtât

Ligne 19 : ô / dégâts

Ligne 20 : pas de fautes

Ligne 21 : quoiqu’il

Ligne 22 : ri / s’entre-déchirer

Ligne 23 : plu (plaire)

Texte 2

Ligne 1 : pas de fautes

Ligne 2 : haleine

Ligne 3 : mise

Ligne 5 : amarres / charroi / nues

Ligne 6 : pas de fautes

Ligne 7 : bouillonner

Ligne 9 : clocher

Ligne 10 : pas de fautes

Ligne 11 : bêche (au lieu de pêche)

Ligne 12 : semences

Ligne 13 : halètement / jeune

Ligne 14 : pas de fautes

Ligne 15 : cyprès

Ligne 16 : déploie

Ligne 17 : corps

11 octobre 2006

dictées à corriger 3

Texte 1 :

            Oh ! Monsieur, dis-je à Mr de Norpois, quant il m’annonca qu’il ferait part à Gilberte et à sa mère de l’admiration que j’avais pour elle, si vous faisiez cela, si vous parliez de moi à Mme Swann, se ne serait pas assez de toute ma vie pour vous témoigner de ma grattitude, et cette vie vous apartiendrait ! Mais je tiens a vous faire remarquer que je ne connais pas Mme Swann et que je ne lui aie jamais été présenté.

            J’avais ajouté ces derniers mots par scruppule et pour ne pas avoir l’air de m’être venté d’une relation que je n’avais pas. Mais, en les prononçants, je sentais qu’ils étaient déjà devenus inutile, car, dès le début de mon remerciment, d’une ardeur réfrigérante, j’avais vu passer sur le visage de l’Ambassadeur une expression d’hesitation et de mécontentement, et dans ses yeux ce regard vertical, étroit et oblique, regard qui s’addresse à cet interlocuteur invisible qu’on a en soit-même, au moment ou on lui dit quelque chose que l’autre interlocuteur – le monsieur avec qui on parlait jusqu’ici-moi dans la circonstence-ne doit pas entendre.

Texte 2 :

            On eut dit un ange, tant elle était belle ; car son épanouissement n’avait pas oté les couleurs vives de son tint ; ses joues était incarnates et ses levres comme du corail ; elle avait seulement les yeus fermés, mais on l’entendait respirer doucement, se qui faisait voire qu’elle n’était pas morte. Le Roi ordonna qu’on la laissa dormir en repos, jusqu’à ce que son heure de se réveiller fût venu. La bonne Fée qui lui avait sauvée la vie, en la condamnant a dormir cent ans, était dans le Royaume de Mataquin, à douze milles lieues de là, lorsque l’accident arriva à la Princesse ; mais elle en fût avertie en un instant par un petit Nain qui avait des bottes de sept lieux. La Fée partit aussitôt, et on l’a vit au bout d’une heure arrivée dans un charriot tout de feu, trainé par des dragons. Le Roi lui alla présenter la main à la descente du chariot.

            Texte 3 :

            J’avais sur l’univers des idées bienveillentes. Les campagnes autour de nous était indulgeantes. On y voyait rien qui put faire peur. Point de hautes montagne, point de larges fleuves. La ferme, dans l’ombre d’un noyé, au versan d’un coteau, se composait d’une grande chambre et d’une étable où le soufle des bêtes se mêlaient à l’haleine des hommes.

            La porte et la fenêtre basse ne laissait entrer que peut de jour. Dehors s’étendait des prairies placides. Les ruisseaux qui les arrosaient était de ceux qui se laissent commander et qu’une main d’enfant détourne. Les bœufs, les bonnes bêtes, lentemment me tiraient le long des chemins, comme un roi fénéant, juché sur les gerbes.

            Le chien courrait pour mon plaisir. J’était heureux enfin. Tout m’aimait. Ma tante m’appellait « mon petit roi ».               

CORRIGE

Texte 1 :

Ligne 1 : quand / m’annonça

Ligne 2 : elles

Ligne 3 : ce / gratitude

Ligne 4 : appartiendrait / à

Ligne 5 : ai

Ligne 6 : scrupule / vanté

Ligne 7 : prononçant

Ligne 8 : inutiles / remerciement

Ligne 9 : hésitation

Ligne 10 : s’adresse

Ligne 11 : soi-même / où

Ligne 12 : circonstance

Texte 2 :

Ligne 1 : eût (conditionnel passé 2ème forme) / ôté

Ligne 2 : teint / étaient / lèvres

Ligne 3 : yeux / ce / voir

Ligne 4 : laissât

Ligne 5 : venue / sauvé / à

Ligne 6 : mille

Ligne 7 : fut

Ligne 8 : la (vit) / arriver / chariot

Ligne 9 : traîné

Texte 3 :

Ligne 1 : bienveillantes / étaient

Ligne 2 : indulgentes / on n’y / pût / montagnes

Ligne 3 : noyer / versant

Ligne 4 : souffle / mêlait

Ligne 5 : laissaient / peu / s’étendaient

Ligne 6 : étaient

Ligne 7 : lentement

Ligne 8 : fainéant

Ligne 9 : courait / j’étais

Ligne 10 : m’appelait

                                                                        

11 octobre 2006

dictées à corriger 2

Fauteuils d’orchestre

            Nous, fauteuils de l’Olympia, que de postérieurs, illustres ou anonymes, raplaplats ou callypiges, avons-nous vu se poser entre nos bras ! Nous avons fréquenté si intimement des quidam qui se disaient, parfois indument, du « showbiz » que notre conaissance des dessous de la multitude surpasse celle des sociologues les plus fûtés. Que nous rions de leurs chichis et de leurs micmacs ou que nous gémissions sous le fardeau de poussas poussifs, nous sommes toujours aux premières loges… C’est pourquoi Gallimard et Grasset nous ont demandé d’écrire nos Mémoires tant espérées.

Qui l’eut crû ?

            Avant que la vedette ne pousse la chansonnette, qu’entendons-nous ? Des Parisiennes se plaindre de leurs amants billieux et de leurs irassibles mastifs, des banquiers s’interpeller ex cathedra à propos de ventes à rémérer, des bourgeoises écolos évoquer doucettement leur attendue dame-d’onze-heures et l’action sédative des racines du rauwolfia, des spectateurs insomniaques échanger leurs impressions sur le dernier nictémère… Que de on-dit nous oyons !

Certes, notre gloire est plus marcecible que celle de nos confrères les fauteuils de l’Académie française, qui se sont élevés jusqu’à l’immortalité. Mais eux se sont laissés râper par les logorhées de leurs ayant-droit, tout en étant condamné à ne se frotter qu’à des habits verts.

            Et nous, fauteuils réellement d’orchestre, nous pouvons obtenir des éditeurs de plus gros à valoir, car, nous, la musique, nous la connaissons !

Ligne 1 : raplaplas

Ligne 2 : callipyges / vus

Ligne 3 : quidams / indûment / connaissance

Ligne 4 : futés / riions

Ligne 5 : poussah

Ligne 6 : pas de fautes

Ligne 7 : espérés

Ligne 8 : l’eût cru

Ligne 9 : pas de fautes

Ligne 10 : bilieux / irascibles / mastiffs

Ligne 11 : à réméré / leurs

Ligne 12 : attendues / dames-d’onze-heures

Ligne 13 : nycthémère

Ligne 15 : marcescible

Ligne 16 : laissé

Ligne 17 : logorrhées / ayants-droit / condamnés

Ligne 18 : pas de fautes

Ligne 19 : à-valoir

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11 octobre 2006

dictées à corriger 1

La ronde des chansons

            On a tous, un jour ou l’autre,  un petit air qui trotte dans la tête et qui colle aux basques… Il est passé par ici, dans cet ilot de verdure où un zest de jazz a envoûté des badaus ébourifés par des brises fripones. On l’a retrouvé là, sur une piste de danse où les fanas des musiques disco et les accrocs du raï et du rap se sont déhanchés à l’envie.

            Enfin, tel un pied de nez, il bondit d’une mansarde dans une venelle, et hop ! repart comme une ritournelle.

            Quelles que soient le jour et l’heure, partout, on sussurre, on murmure, on sifflotte, on marmotte, on chantonne, on fredonne…

            Et la chanson va son chemin. Combien d’écoliers, à Caen ou à Sète, se sont fait la voix en anonnant des contines ressassées ? Bénis soient les cœurs et les maîtrises qui, avec des sol et des do, ont sauvegardé le vieil art choral ! Merci aux pèlerins et aux troubadours, vêtus de saillants pourpoints, qui se sont produit avec des citares, des lyres ou des luths devant des mélomanes tout égaillés qui en oubliaient le fait des soucis. Et chapeau aux bout-en-train du vingt et unième siècle qui, demain, quelques amateurs qu’ils soient, s’époumonneront à interpréter, lors d’époustoufflants karaokés, les tubes des hit-parades : autres temps, autres mœurs !

            Alors, vous aussi, chantez des balades ou des pleins-chants, des opéras rock, ou encore l’hymne national, dans ce pays où tout commence et tout finit par des chansons !

Ligne 1 : pas de fautes

Ligne 2 : îlot / zeste / badauds

Ligne 3 : ébouriffés / friponnes

Ligne 4 : accros / envi

Ligne 5 et 6 : pas de fautes

Ligne 7 : quels / susurre / sifflote

Ligne 8 et 9 : pas de fautes

Ligne 10 : ânonnant / comptines / chœurs

Ligne 11 : pas de fautes

Ligne 12 : seyants / produits / cithares

Ligne 13 : égayés / faix / boute-en-train

Ligne 14 : quelque / s’époumoneront

Ligne 15 : époustouflants

Ligne 17 : ballades / plains-chants

Ligne 18 : pas de fautes

11 octobre 2006

qcm culture générale

On retrouve de la culture générale à Poitiers, Caen, Nantes, Strasbourg et Toulouse.

1_Qu’est ce qu’un incunable ?

  • Un représentant du tiers-état sous la révolution
  • Une personne de caste inférieure en Inde
  • Un livre imprimé avant 1500
  • Une propriété mathématique indémontrable

2_L’épigone est :

·        Une maladie virale

·        Un successeur

·        Une figure géométrique

·        Une variété d’épinards

3_Celui qui distingue les objets la nuit est :

·        Lycanthrope

·        Nycthémère

·        Nyctophobe

·        Nyctalope

4_Quelle est la capitale du Texas ?

·        Austin

·        Dallas

·        Houston

·        Miami

5_Les quadriceps est un muscle :

·       De la cuisse

·       Du mollet

·       Du bras

·       De l’avant-bras

6_  Le jeudi noir a eu lieu en :

·        1572

·        1905

·        1929

·        1987

7_Jusqu’en 1803, la Louisiane fut une possession :

  • de la France
  • de l’Italie
  • de l’Angleterre
  • du Portugal

8_Qui est Vladimir Ilitch Oulianov :

  • Staline
  • Lénine
  • Castro
  • Raspoutine

9_En quoi consiste l’hydrographie ?

·        L’analyse chimique de l’eau

·        La cartographie des cours d’eau

·        L’étude de l’eau

·        La peinture à l’eau

10_Lequel de ces noms n’est pas masculin ?

·        Amalgame

·        Apogée

·        Ampère

·        Amygdale

11_Où est l’erreur ?

·        Auprès

·        Parmis

·        Hormis

·        Envers

                       12_Un quinconce désigne :

·        Une ancienne unité de mesure

·       Un polyèdre irrégulier

·       Une disposition de cinq objets

·       Une crise de toux

13_Quel est l’antonyme du mot hérétique ?

  • Dissident
  • Dévot
  • Hétérodoxe
  • Déviant

14_Quelle hormone sert au traitement du diabète ?

·        La morphine

·        L’insuline

·        L’adrénaline

·        La folliculine

1/c ; 2/b ; 3/d ; 4/a ; 5/a ; 6/c ; 7/a ; 8/b ; 9/b ; 10/d ; 11/b ; 12/c ; 13/b ; 14/b

10 octobre 2006

expressions

très utiles pour Bordeaux, Nancy, Poitiers...

Avoir maille à partir avec quelqu’un : avoir un différend, une dispute avec qqn

Saigner qqn à blanc : pressurer qqn

Dire pis que pendre de qqn : médire grandement de qqn

Mettre qqch sous le boisseau : dissimuler une chose, la garder secrète

Avaler des couleuvres : supporter des avanies sans protester, tout croire

Traîneur de sabre : militaire qui fanfaronne, fait le brave

Etre dans l’œil du cyclone : être au beau milieu des difficultés

La fine fleur de qqch : l’élite, le gratin

Faire partie du sérail : faire partie d’une élite

Faire Charlemagne : quitter le jeu sur une victoire sans offrir de revanche

Victoire à la Pyrrhus : victoire remportée au prix de lourds sacrifices

Faire florès : être en vogue, remporter du succès

Cuisse de nymphe émue : rose chair

Le défaut de cuirasse : le talon d’Achille, le point faible

Descendre dans l’arène : se lancer dans un combat

Courir la gueuse : vivre dans la débauche

La flèche du Parthe : trait mordant qu’on décoche au terme d’une conversation

Lettre morte : sans effet, sans suite

Coup de Trafalgar : accident désastreux et inopiné

Prendre le Pirée pour un homme : commettre une erreur grossière

Brochant sur le tout : en outre, de surcroît

Faux prophète : usurpateur, imposteur

Se battre à fer émoulu : se battre avec des armes aiguisées

Prendre la mouche : se fâcher, s’irriter

Long d’une aune : fort long

Perdre la tramontane : être déconcerté

Prendre qqn sans vert : prendre qqn de court, au dépourvu

De guingois : en biais, de travers

Mener la vie à grandes guides : dépenser beaucoup

Détenir le ruban bleu de qqch : être supérieur aux autres dans un domaine

N’en pouvoir mais : n’y rien pouvoir

Sonner le glas de qqch : annoncer l’arrêt, la fin de qqch

Profil de médaille : visage, personnes aux traits fins, réguliers

Mettre (qq ou qqch) à l’index : condamner, boycotter, exclure

Savoir gré à qq : avoir de la gratitude, de la reconnaissance envers qq

Le feu sacré : l’enthousiasme

Violon d’Ingres : hobby, passe-temps préféré

Etre le dindon de la farce : être l’objet d’une mauvaise plaisanterie

Battre sa coulpe : s’avoue coupable

Avoir de la branche : avoir de l’allure, être racé

Coup de semonce : ordre de montrer ses couleurs, de s’arrêter

Homme de paille : personne qui sert de prête-nom dans une affaire plus ou moins honnête

Tenir la dragée haute à qqn : lui faire payer cher se qu’il demande

Donner de la tablature à qqn : des difficultés

Volée de bois vert : coups de bâton, critiques violentes

Elever qqn sur le pavois : le mettre au premier rang,

Etre dans les bras de morphée : dormir

Courir le cachet : chercher à donner des leçons à domicile, avoir des engagements à la soirée

Depuis le cèdre jusqu’à l’hysope : du plus grand au plus petit

Etre frais émoulu de : récemment sorti de ( une école …)

En filigrane : d’une façon implicite

Battre en brèche : attaquer à coups de canon pour ouvrir une brèche

Querelle byzantine : discuter sur le sexe des anges ou couper les cheveux en quatre

Jouer les Cassandre : faire des prophéties dramatiques au risque de ne pas être cru

Coup de caveçon : punition

Etre en délicatesse avec qqn : avoir à se plaindre de lui

Jugement de salomon : empreint de sagesse et d’équité

Partage léonin : abusif, injuste

Entre en lice : s’engager dans une lutte, une compétition

Homme lige de : personne entièrement dévouée à

Trouver son chemin de damas : se convertir

Faire chorus : être du même avis

Pas de clerc : faute, erreur, maladresse par inexpérience

Marin de bateau-lavoir : marin amateur

Prendre son bâton de pèlerin : partir en pèlerinage, faire une tournée pour défendre une idée, un projet

Etre amoureux des onze mille vierges : de toutes les femmes

Faire feu des quatre fers : se dit d’un cheval qui frappe le pavé de ses fers

Prendre des vessies pour des lanternes : commettre une grossière méprise

Le revers de la médaille : l’aspect déplaisant d’une chose qui paraissait sous son plus beau jour

Tirer à hue et à dia : tirer en sens contraire

Faire le diable à quatre : faire bcp de bruit, se démener pour obtenir, empêcher qqch

Mettre en perce : faire une ouverture à ( un tonneau) pour en tirer le vin

N’en pouvoir mais : n’y pouvoir rien

River son clou à qqn : le réduire au silence par une réponse

Levée de boucliers : démonstration d’opposition

Coup de bélier : choc violent

Demander quartier : demander grâce

Avaler des couleuvres : croire n’importe quoi

Battre froid à qqn : le traiter avec froideur

Avoir l’étoffe de : les qualités, les capacités de

Discuter du sexe des anges : se livrer à des discussions oiseuses

Etre dans l’œil du cyclone : être au centre des difficultés

Tour de bâton : profit secret, ristourne illicite

Rompre en visière : attaquer, contredire violemment

Vœux pieux : sans espoir de réalisation

Sans coup férir : sans difficulté

Etre logé à la même enseigne que : être dans la même situation fâcheuse, dans le même embarras

N’être pas sans savoir que : ne pas ignorer que

Pousser des cris d’orfraie (=chouette effraie) : des cris perçants

Trancher le nœud gordien : trancher de façon violente une difficulté

Faire la part du feu : se résigner à perdre ce qui ne peut plus être sauver pour préserver le reste

N’avoir garde de : s’abstenir, n’avoir aucunement l’intention de

Sentir le fagot (sentir le roussi) : être suspect d’hérésie, inspirer de la méfiance

Damer le pion à qqn : l’emporter sur lui, le surpasser

Etre l’homme d’un seul livre : être un auteur dont la notoriété repose sur 1seul livre

Tailler des croupières à qqn : luis susciter des difficultés, de l’embarras

Fait, taillé à coups de hache : grossièrement (surtt en parlant d’un visage)

Ceindre le tablier : devenir franc-maçon

Avoir le verbe haut : décider avec hauteur, parler très fort

Faire le chien couchant : être servile

Etre le bras armé de qqn, qqch : l’exécutant

Boire du petit-lait : éprouver une vive satisfaction d’amour propre

Avoir la tête près du bonnet : être colérique, prêt à s’emporter

Forcer la note : en faire trop

Se porter fort pour qqn : se porter garant, caution pour lui

Chevalier d’industrie : aigrefin, escroc

Se hausser, pousser du col : se faire valoir, prendre de grands airs

Frères servants : frères convers employés aux modestes besognes

Jeter le gant à qqn : le défier, le provoquer

Croquer le marmot : attendre longtemps en se morfondant

Gibier de potence : personne qui mérite d’être pendu

Terre meuble : qui se laboure, se fragmente aisément

Au marc le franc : d’une manière proportionnelle

Manger son blé en herbe : dépenser un bien productif avt qu’il n’ait rapporté

Etre toujours sur la brèche : tjs prêt au combat, au travail

10 octobre 2006

culture générale vrac

Questions de culture générale

  • Alfred Nobel, qui fonda les prix Nobel était : chimiste

  • Le musée de l’ermitage se trouve en Russie

  • La marseillaise, avant de devenir l’hymne national, portait le nom de : le chant pour l’armée du Rhin

  • Montoire a été rendu célèbre par : une rencontre

  • Copernic était de nationalité Polonaise

  • Le maréchal surnommé « le brave des braves » est : Ney

  • Le château bâti pour François 1er est : le château de Chambord

  • L’échelle de Beaufort sert à la mesure : la force du vent

  • Le mot commando est d’origine portugaise

  • Le serpent minute n’est pas venimeux (contrairement aux serpents à lunettes, à corail et à sonnette )

  • « Paris vaut bien une messe » est un mot de Henri IV

  • le parachute fut inventé par un français

  • le personnage de La Fontaine ayant pour spécialité « d’etre habile à changer de camp » est : la chauve-souris

  • le Cap ne faisait pas parti du « tour du monde en 80 jours » de Jules Verne

  • le sujet filmé le plus souvent est Carmen

  • C’est Musset qui a crée le personnage de Mimi pinson

  • C’est Beaumarchais qui a crée la société des auteurs dramatiques

  • « Rigoletto » est tiré d’une œuvre de Victor Hugo (le roi s’amuse)

  • l’auteur qui a vu le nom de son personnage « mr Pipelet passer dans le langage courant est : Sue

  • c’est Richelieu qui créa l’académie Française

  • Brahms disait « qu’il avait horreur du mariage autant que de l’opéra »

  • Lamartine a été candidat à l’élection au poste de président de la république

10 octobre 2006

vocabulaire 28

Voici du vocabulaire " type paris" c'est à dire où l'on vous demande de connaitre les différents sens d'un même mot. Ce concours demande de grande connaissance en vocabulaire donc n'hésitez pas à en apprendre un maximum !

Contristé : affligé, navré

Glèbe : motte de terre, terre cultivée

Diaprer : orner

Pellucide : translucide

Importunité : désagrément

Piaculaire : relatif à une expiation

Libériste : deltiste ( qui fait du deltaplane)

Epigrammatique : satirique

Nitescence : lueur, rayonnement

Officieux : serviable, obligeant

Gracile : fluet, frêle

Logorrhée : loquacité

Poivré : grossier, salé, épicé, licencieux

Contrit : repentant

Limnée : mollusque

Friselis : frémissement

Plain : plat, uni, égal

Munificence :  largesse, prodigalité, magnificence

Pétrarquiser : aimer platoniquement

Atrabilaire : bilieux, coléreux, irritable

Conspuer : huer

Grouillot : apprenti, pullulement

Infatué : fat, suffisant, vaniteux

Congruent : adapté, adéquat

Perclus : impotent, paralysé, inerte

Lippu : aux grosses lèvres

Pléthorique : obèse, abondant, surchargé

Indurer : durcir

Désopilant : comique, drôle

Piperie : leurre, tromperie

Nixe : nymphe

Verbeux : diffus, prolixe

Périssologie : pléonasme

Pharisaïque : hypocrite

Misanthrope : insociable, ours, sauvage, solitaire

Philistin : béotien

Vaticination : prédiction

Zélateur : adepte, partisan, religieux

Népotisme : favoritisme

Virulent : infectieux, mordant, violent, contagieux

Imposture : mystification, mensonge

Suave : doux, délicieux

Verve : caprice, fougue, bagout, esprit

Phtisique : poitrinaire

Vilain : méprisable, méchant, paysan

Idoine : approprié

Placide : paisible, doux, calme, flegmatique

Hyperbolique : emphatique, exagéré

Imbu : imprégné, pénétré, plein, rempli

Pompeux : somptueux, magnifique, ampoulé, ronflant

Podagre : goutte

Expiation : réparation, châtiment

Voluptueux : épicurien, sybarite, sensuel

Pétulance : fougue, impétuosité, vitalité, vivacité

Inouï : extraordinaire, inconnu

Plantureux : abondant, fertile, riche, copieux

Viatique : communion, soutien

Chafouin : cauteleux, sournois

Longuet : un peu long, marteau, gressin

Polisson : coquin, galopin, égrillard, paillard

Dédaléen : inextricable, dédalien, dédalique, labyrinthique

Ombilic : nombril, plante, chimère

Dilection : amour

Défalquer : décompter, retrancher, réduire

Sirupeux : doux

Virginal : d’une vierge, épinette

Zoïle : critique, détracteur

Gramen : gazon

Prescience : prémonition

Inclination : penchant, tendance, propension

Aquilin : en bec d’aigle

Pinière : pinède, plantation de pins

Camus : camard, déçu, penaud

Vibrion : bactérie, individu agité

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